Les plate formes elearning

logo MoodleLa connaissance des caractéristiques des principales plate formes elearning disponibles sur le marché est essentiel. En effet, ces plate formes sont encore largement indispensable pour dispenser une offre de formation. Plusieurs acteurs se partagent ce marché, partagé entre des offres commerciales comme Saba, et une offre « gratuite » dont le fer de lance est la célèbre plate forme Moodle. Le cours qui nous a été dispensé a présenté les différents aspects du marché des LMS. En évaluation, nous avons dû réaliser en binôme une description des principales fonctionnalités d’une plate forme ainsi que d’un portail de formation. Avec mon binôme, nous avons choisi de présenter la plate forme Lynx et le portail de la Région Bretagne Skoden.

J’ai apprécié ce cours pour la vue d’ensemble qu’il apporte. Adapté à des niveaux divers, il permet d’acquérir des connaissances solides sur les LMS. Celles-ci me seront utiles lors de l’intégration de contenus sur un LMS lors des projets auxquels je prendrai part.

Voici le travail réalisé :

La plate-forme Lynx

Le portail Skoden

Normes et standard

Image de scorm avec une flèche de validation verteLe cours Normes et standards présente les standards AICC, SCORM et LOM qui sont les plus courantes dans le domaine du elearning. Ces standards permettent aux productions elearning d’être interopérants,  réutilisables et de communiquer avec des plates formes de formation (Learning Management System). La formation que nous avons eu à ce sujet a consisté en une présentation des caractéristiques de ces standards, de la logique de leur diffusion et des différentes tensions ou remise en cause qui les secoue. Nous avons aussi été sensibilisés aux normes ISO qui sont en cours de constructions.

J’ai apprécié les informations qui m’ont été transmise par ce cours. En effet, nous avons eu à utiliser et à comparer les avantages et les inconvénients de chacun des standards courant du elearning. Nous avons ainsi testé l’intégration de ces standards avec plusieurs médias. Scorm 2004 a été le plus apprécié, au détriment d’AICC, trop réducteur et de LOM, trop compliqué à gérer avec ses 80 champs à renseigner. Nous avons aussi dû rendre une analyse de la diffusion de ses normes. Pour ma part, j’ai travaillé sur le standard Scorm et sur l’impact des normes du web dans la diffusion des cours elearning (emploi de Flash, format sonore, taille des modules, etc.). J’ai n’ai pas eu de difficulté particulière à suivre ce cours. J’ai apprécié son apport pour comprendre l’importance des standards dans le domaine du elearning.

Propriété intellectuelle et droit voisin

Logo Creative CommonLa propriété intellectuelle est une donnée importante dans le domaine de formation à distance. En effet, elle touche les images, textes, sons et vidéos qui peuvent être utilisés pour la réalisation de ces formations, mais aussi les logiciels qui permettent de réaliser celles-ci. Ce cours a été pensé pour une donner une base théorique solide dans ce domaine. Ainsi, le droit d’auteur nous est détaillé, de même que les spécificité de la protection intellectuelle. Dans le cadre de ce cours, j’ai choisi de réaliser un mémoire concernant la protection des logiciels dédiés aux elearning. J’ai choisi cette thématique car la protection intellectuelle sous plusieurs formes (brevet, enregistrement à l’INPI, etc.) m’avait déjà été présentée durant la préparation des Doctoriales Bretagne de 2008 et j’avais quelques notions sur ce sujet. Cependant, ce cours m’a permis de renforcer mes connaissances dans ce domaine.

J’ai dû gérer la grande complexité de ce cours, qui a nécessité un investissement important en temps  pour comprendre les différents aspects juridique de la propriété intellectuelle. Je suis maintenant averti des points du droit à prendre en compte en cas de réalisation d’un projet elearning qui implique de gérer des droits d’auteurs. J’ai notamment intégré la dimension juridique à la veille elearning que je mène par ailleurs.

Le cours Base de données FOAD

Icone Base du logiciel Open OfficeDans le cadre du cours « Base de données », nous avons eu une introduction la solution Base intégré à Open Office. Les cours consistent en des tutoriels vidéos qui présentaient les bases de la réalisation de bases de données.  En évaluation de ce cours, nous devions réaliser une base de données comportant plusieurs entrées.

J’ai apprécié la  forme de ce cours. La pédagogie était cohérente et faisait du pas à pas.  Cette introduction était accessible à des débutants dans ce domaine. Il m’a permis d’avoir une vision clair de ce qu’il est possible de réaliser avec une base de donnée. J’ai eu des difficulté néanmoins à bâtir une base de donnée sans défaut. J’ai du passer un nombre d’heure non négligeable à la paramétrer. Pour l’avenir, je pense que les connaissances que j’ai pu acquérir avec ce cours vont enrichir ma culture informatique. Les bases de données étant très présentes sur le web (Mysql, Oracle, etc.), elles me permettront de dialoguer plus aisément avec des spécialistes informatiques.

Mon stage au sein de la société NorthgateArinso

J’ai intégré la société NorthgateArinso en février 2010 en tant que stagiaire elearning pour une durée de six mois. NorthgateArinso est spécialisé dans le déployement et la gestion des logiciel de gestion RH pour des grandes organisations. Durant ce stage couplé à mon master professionnel à l‘ENEAD-Sorbonne Nouvelle, j’ai eu comme mission de concevoir et de réaliser des formations à destination d’un public d’utilisateurs d’euHReka, un nouvel logiciel  de gestion RH proposé par la société NorthgateArinso. Ce logiciel permet à de simples employés de gérer lui même des tâches RH (consultation des fiches de paye, gestion des congés payés, etc.). De plus, il permet une gestion global des employés d’une société implantée dans plusieurs pays.

Ce projet a forte tonalité internationale m’a permis d’acquérir des compétences dans la réalisation de modules elearning, tant d’un point de vue technique (maîtrise des logiciels Adobe Captivate 4, e-doceo elearning Maker et Animgallery) que d’un point de vue de la réalisation (écriture de scénarios elearning, de storyboard et gestion de la production ainsi que des retours clients).  Nous avons eu à réaliser plusieurs modules de formations et d’évaluation pour la société AstraZeneca, un acteur pharmaceutique global qui souhaite former ses employés à euHReka. Ce projet impliquait notamment de travailler en anglais et de réaliser de nombreuses traductions (16 langues en tout) pour un déployement dans 32 pays. Très intense, ce stage s’est accompagné de la réalisation de modes opératoires ainsi que de nombreuses missions annexes.

Suite à ce stage, la société NorthgateArinso m’a recruté en tant que consultant junior. J’interviens en ce moment sur le projet AstraZeneca, dans la continuité de mes missions précédentes.

Les tutoriels vidéos, un domaine de la formation à distance en plein essor

Mon mémoire de master traite de la montée en puissance des tutoriels vidéos comme un outil d’apprentissage. J’utilise  le biais de l’étude des tutoriels vidéos consacré à la formation à de nouveaux logiciels pour démontrer que l’essor de ce moyen de formation repose sur plusieurs facteurs.

  • La premier d’entre eux est le facteur technique. Le débit disponible et l’écroulement du coût de stockage des données ont rendu possible l’essor des tutoriels vidéos.
  • Le deuxième est d’ordre économique. Une galaxie très vaste de sites payants ou gratuits permettent à un internaute de trouver des formations en ligne sur des logiciels très divers. Lynda.com et VTC.com sont les leaders commerciaux du secteur en langue anglaise, mais il existe aussi des champions hexagonaux comme Tuto.com. L’offre gratuite est aussi très étoffée, notamment sur Youtube.com. Plus de 700.000  vidéos de tutoriels vidéos sont consacrés…à Photoshop uniquement !
  • La troisième modification est d’ordre social : le partage d’expérience et la transparence devient la règle dans un monde globalisé dans lequel chacun à accès à une formation d’une qualité rare.

Ces trois idées clés ont guidé mon mémoire et structure ma réflexion. Afin d’appuyer ma réflexion, j’ai consulté près d’une centaine de sites, en langue anglaise ou française. J’ai analysé et présenté les modalités de réalisations de  plusieurs tutoriels vidéos.

La difficulté majeur de ce projet à résider dans le manque de temps pour approfondir plusieurs pistes de recherches. Ainsi, je n’ai pas eu le temps de pousser mes recherches vers les autres thèmes abordés par les tutoriels vidéos (maquillage, cuisine, etc.), alors même qu’ils représentent une branche très dynamique des tutoriels vidéos et qui touchent de plus un public très différent, manifestement surtout féminin. Le public des tutoriels vidéos est mal connu en régle général et une étude complémentaire est nécessaire.

De plus, j’ai manqué de temps pour fouillé en profondeur la bibliographie. Cependant, je considère ce travail comme un première étape avant des travaux complémentaires qui me permettront d’approfondir cette thématique.



Comment réaliser une veille en elearning?

Comment réaliser une veille? Dans ce post, nous allons juste présenter les solutions qui s’offrent à vous sur internet. Nous traiterons de la veille physique dans un prochain post.


Etre en permanence à l’écoute des évolutions du marché du elearning et des nouvelles tendances demande une bonne dose d’organisation, de la méthode et un peu de temps. Cet investissement est largement rétribué par les avantages d’une veille. En étant bien informé, vous continuez à maintenir une analyse fine du secteur du elearning. En observant les nouveautés qui apparaissent régulièrement, vous êtes capables de faire les bons choix dans votre activité professionnelle. Enfin, vous maintenez votre employabilité en ne vous enfermant pas dans un champ d’activité trop précis.

La bonne nouvelle, c’est que le milieu du elearning est très ouvert sur l’extérieur. Il existe de nombreux blogs, sites et réseaux dans lesquels vous pouvez piocher de l’information. La mauvaise, c’est qu’il ne suffit pas d’aller sur un site unique pour réaliser une veille et il faut faire preuve de discernement dans l’information que l’on va filtrer. Il faut mettre en place un dispositif de veille ad hoc. Rassurez-vous, c’est finalement assez simple !

panneaux indicateurs

Voici  9 recommendations pour réaliser une veille de qualité :

1. Analysez les sites dont vous avez besoin. Ne soyez pas forcément boulimique. Si vous travaillez dans une entreprise, vous n’avez pas forcément les même besoins que si vous travaillez dans un établissement d’éducation. Sélectionnez donc vos sources de contenus selon vos besoins précis. Attention cependant à ne pas tomber dans l’excès inverse. Faire une veille très ciblée sur Moodle sans vérifier ce qui se passe pour les autres plate-formes n’a pas beaucoup de sens…Gardez cependant toujours une fenêtre ouverte sur une source d’information généraliste du secteur de la formation.

2. Ciblez les blogs. Dans le petit monde du elearning, ce ne sont pas les sites qui sont fondamentaux. Ce sont les blogs. Tenus par des professionnels du elearning, ils distillent une information de très grande qualité. C’est très souvent grâce à eux que vous serez mis au courant des toutes dernières nouveautés. Attentions, ils ont des identités très différentes. Ainsi, Si loin si proche propose une veille outil de très grande qualité, tandis qu’Emob est dédié au screencasting et au graphisme. A vous de choisir selon vos préférences.

3. Soyez ouvert à l’international. Les sites et des blogs de grande qualité francophone sont nombreux mais beaucoup d’entre eux présente des informations corporate ou relaye des informations déjà existantes. Les blogs anglo-saxons sont souvent plus créatifs et proposent de véritables analyses. Ils fournissent nombre de tips, les petits trucs qui vont grandement vous simplifiez votre métier. Pour toutes ces raisons, ils sont juste indispensables. Le plus important d’entre eux est The Rapid Elearning Blog de Tom Kuhlmann mais il en existe de nombreux autres. Il existe aussi des sites indispensables, comme The Elearning Guild, Celui-ci propose même une sélection des posts les plus importants à lire d’urgence. Elle est pas belle la vie?

Flux RSS

4. Utilisez les flux RSS et un agrégateur de contenu. Les flux RSS vous permettent d’aspirer les nouveaux contenus mis à jour sur les sites que vous avez sélectionné et de les centraliser dans un agrégateur de contenu. Le plus célèbre, et peut-être le plus efficace, est Google Reader. Gratuit, entièrement en ligne et user-friendly, il se révèle un outil aisé à l’usage et parfaitement adapté à une activité de veille.

5. Inscrivez-vous à des newsletters. Elles sont finalement assez peu nombreuses dans le milieu de elearning. La plus indispensable est celle du site E-learning-info.com pour réaliser une veille tournée plutôt vers le monde de l’entreprise.

6. Recensez les sites,  les documents ou les outils que vous trouvez. Avoir de l’information, c’est bien, mais si vous ne l’organisez pas efficacement, vous n’allez pas être capable de retrouver les informations pertinentes quelques mois plus tard. Pour ne rien perdre, choisissez un outil qui recense les sites et les blogs que vous visitez. Le plus célèbre est Delicious, mais vous pouvez aussi utilisez Netvibes.

Logo Twitter7. Insérez vous dans des réseaux sociaux. Facebook, mais surtout Twitter, sont des espaces de discussion qui peuvent vous apporter une information constante. Avec des flux RSS, vous êtes dans la réaction à +1jour ou +1 semaine. Avec Twitter, les messages s’affichent chaque jour, en permanence. Les professionnels du elearning étant très branchés nouvelles technologies, ils sont solidement présent sur Twitter. Idéal pour être mis au courant avec souplesse d’un site intéressant ou d’une toute dernière nouveauté. Cependant, il faut être à l’écoute en permanence…

8. Prenez du temps pour parcourir vos infos. Et réagissez. Une fois que vous avez bien organisé votre veille (sites, newsletters, blogs, twitter), il faut encore la lire. Personnellement, je ne lis mes flux qu’une fois par semaine, et je ne lis que peu de chose. Surtout les grands titres des posts, je n’ai pas le temps d’en faire plus. Avoir beaucoup d’information, c’est bien, mais il faut encore savoir la traiter efficacement. Soyez fainéant, mais pas trop. Il faut toujours parcourir l’info, mais faut-il la lire…c’est une autre question. Idéalement, il ne faut pas hésiter à réagir. Le partage d’information est le plus bénéfique pour la communauté et pour vous-même, donc n’hésitez pas!

Travaux en cours9. Mettez à jour en permanence votre veille. Votre veille doit évoluer au gré de vos besoins ou de vos nouvelles découvertes. N’hésitez pas à supprimer des sites qui ne semble plus pertinent. Rajoutez-en également selon les indications de vos pairs. Ce sont eux qui sont les plus à même de vous fournir une évaluation pertinente de la qualité d’une source d’information ou d’un document. Faites leur confiance, mais pas aveuglément non plus.

Bienvenue sur mon eporfolio

Bienvenue sur cet eportfolio qui a pour objet de présenter les différents travaux que j’ai réalisé durant mon année de master 2 AIGEME au sein de l’ENEAD-Sorbonne Nouvelle. Ce master est spécialisé dans l’ingénierie de la formation à distance. Il est réalisable à distance.

Après un doctorat d’histoire moderne à l’Université de Bretagne Sud, j’ai intégré la promotion Oillot en 2009/1010. J’ai effectué un stage de six mois au sein de la société NorthgateArinso France avant de l’intégrer comme consultant junior en septembre 2010. Si vous souhaitez plus de renseignement sur mon parcours, c’est par ici.

Dans le cadre de ma veille sur le elearning, j’ai aussi un delicious que vous pouvez visiter ici.

Bonne exploration,

André Catrou

Comment rédiger des modes opératoires pour un logiciel?

Ces deux derniers jours, j’ai bénéficié avec toute mon équipe d’une formation à la technique de rédaction de modes opératoires. La formatrice, Stéphanie Durand-Gasselin, spécialiste des mods ops sur logiciels, a su nous montrer tous l’intérêt de sa méthodologie dans le cadre de notre projet.

Un rapide tour de table en début de formation a révélé les bases très solides des participants à cette formation. Des consultants expérimentés, des rédacteurs de modes opératoires, des stagiaires issus d’écoles de commerce ou de master en formation à distance. Stéphanie n’a pas manqué de souligner que nous étions des apprenants à haut potentiel, avec surtout « une bonne expérience d’écriture ».

Finalement, nous avons découvert que l’écriture n’entrait que pour une part réduite dans la rédaction d’un mode opératoire. Après avoir fait plancher sur des manuels d’utilisation et autres manuels de référence, nous avons découvert qu’il n’y avait pas une seule manière d’écrire un mode op, mais qu’il y en a des meilleurs que d’autres…. Les différences proviennent des mots employés, de la présentation de l’information, des captures d’écran, bref d’un cocktail d’ingrédient qu’il convient de savoir doser.

Exemple de mode opératoire
Attention, ne refaite pas cela chez vous

En effet, il ne suffit plus d’écrire un mode op pour faire du bon boulot. Il faut penser le contexte autour du projet et son insertion dans la stratégie KM de l’organisation. Plus que tout, il faut soigner la présentation et acquérir une façon d’écrire spécifique. Pas de « paragraphes vides », de phrases à rallonge ou de vocabulaire littéraire.

Alors comment écrit-on un mode op de qualité ?

  • D’abord, il faut choisir un outil adapté. Snagit pour les captures d’écran est une solution très efficace. Pour l’écriture, Robohelp est le plus populaire, mais Word peut faire l’affaire grâce à l’utilisation de feuilles de style qui permettent de centraliser les captures d’écran dans un dossier à part.
  • Ensuite, il faut être précis et spécifique. Ne dites pas « Revenez sur la page en cliquant sur le bouton Retour en bas à gauche » mais « Cliquez sur Retour ». Il fallait y penser ! Les captures d’écran doivent aussi être adaptées au contexte. Inutile de prendre tout une page pour mettre en valeur une simple icône. Décidément, il faut penser simplicité.
  • Il faut catégoriser les informations. Plutôt qu’une liste à rallonge de fonctionnalités, ne pas hésiter à découper entre une aide fonctionnelle et une liste de « Que faire pour… » à compléter avec une liste de « Que faire si… » Attention tout de même à ne pas abuser des « Que faire pour… », au risque de noyer l’utilisateur.
  • En dernier lieu, il faut favoriser la lecture rapide. Quelqu’un qui a besoin d’une aide en ligne a besoin d’une aide rapide, pas d’un long exposé. Comme le soulignait Stéphanie « Imaginez les buralistes devant leur machine. Ils ont une file d’attente de 10 personnes devant eux, vous pensez qu’ils ont le temps de lire une aide encyclopédique ? » Non en effet. A nous de privilégier la lecture rapide par une rédaction et une présentation adaptée, d’autant plus que de très nombreux modes op sont uniquement disponibles sur ordinateur.

Bref, rédiger des modes op nécessite de vraies compétences que nous avons acquis grâce à cette formation. Le bilan? Un mode op de 8 pages réduit à une seule….voilà d’énormes économies en temps et en argent en perspective !

Stéphanie Durand-Gasseli est gérante de la société Sherpa.

Présentation de la plate forme Lynx et du portail Skoden

Dans le cadre de notre cours sur les outils du elearning, nous avons été amené à présenter une plate forme et un site consacré à la formation à distance. Mon équipe à choisi la plate forme commerciale Lynx ainsi que le site institutionnel Skoden. Ce site est consacré à la formation à distance dans la région Bretagne.
La plate-forme Lynx

Le portail Skoden